mercredi 27 avril 2016

La solution des deux états est morte

Qui peut croire encore, dans le conflit proche-oriental, à la solution de deux états dont l’un sera, indubitablement, judenrein, aura comme Capitale Jérusalem-est et dont ses frontières internationales seront les « frontières de 1967 » ?

Réponse, la France ! Ce pays qui récemment, par une résolution infecte à l’UNESCO, a reconnu, par la bande, que Jésus n’était pas Juif mais musulman.

Drapeau de la Palestine mandataire avant la renaissance de l’Etat d’Israël

Cette ‘’amie’’ du peuple juif compte même, dans cet objectif, organiser une grande réunion internationale à Paris le 30 mai prochain. Celle-ci rassemblera les membres du Quartet, de la Ligue arabe et du Conseil de sécurité. Une vingtaine de pays au total, à l’exception des ‘’Palestiniens’’, mais surtout des Israéliens, principale intéressés !

« Il n’y a pas d’autre solution au conflit que l’établissement de deux Etats, israélien et palestinien, vivant côte à côte en paix et en sécurité avec Jérusalem pour capitale partagée » assure Jean-Marc Ayrault le ministre des Affaires étrangères français. Celui-ci voyant dans ce conflit un sujet qui « alimente les tensions régionales et nourrit la propagande de Daech ». 

Toutes choses qui menacent la sécurité et l’économie de la France ! Charité bien ordonnée commence par soi-même dit l’adage !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog

Qui peut donc croire, que le peuple israélien, quelque soit le gouvernement en place alors, acceptera de nouveau, et suite au retrait de la bande de Gaza, que des centaines de milliers d’israéliens, vivant actuellement en Judée et en Samarie, soient expulsés de leur maison mais aussi qu’un trait définitif soit tiré sur le berceau historique du Judaïsme au profit d’un peuple que nul ne peut, à ce jour, conter son passé avant 1967 ?

Qui peut supposer que les Israéliens accepteront que Jérusalem ne soit plus, un jour, leur Capitale une et indivisible ?

Qui peut conjecturer que les Israéliens accepteront que les frontières internationales de leur pays deviennent, peu ou prou, la ligne d’armistice de 1949, que beaucoup nomment « frontières de 1967 » ? Tracé qui permettra, du haut des collines de Judée et de Samarie, le tir aux pigeons israéliens ayant cru à la paix !

Réponse : la France, encore, qui organise sa conférence de la ‘’Paix’’ pour, dans les faits et aidée de ses alliés, contraindre l’Etat d’Israël à ce plan si ‘’merveilleux’’ ! 

Une Paix qui s’apparente à celle des cimetières.

Dans les faits, disons le, cette solution est morte et enterrée avec les illusions des « Accords d’Oslo » ! D’une part, pour la simple raison que le monde musulman n’est toujours pas réconcilié avec l’idée d’un état pour le peuple juif, et, d’autre part, parce que l’Etat d’Israël ne peut être lui-même l’enjeu d’un dénouement final. Seules la Judée et la Samarie sont des territoires disputés et doivent donc être seules concernées par un règlement politique.

Un règlement qui ne pourra valider le projet hitlérien d’un territoire sans juifs, ou des frontières non gardées par Tsahal, seule à même de garantir une Paix digne de ce nom.

jeudi 21 avril 2016

Israël : « petit pays de merde »

En 2001, l’Ambassadeur français à Londres, Daniel Bernard, a alors, sans aucun doute, dévoilé le parti pris planétaire concernant l’Etat d’Israël en le qualifiant de « petit pays de merde ». Crise internationale aidant et pression musulmane contraignante, ce pays a été jugé , sans procès, ‘’responsable’’ de (presque ?) toutes les catastrophes mondiales. 

Toutes les ‘’bonnes consciences’’ de la planète, médias, intellectuels et politiques, se sont donc donné le mot pour le placer sous surveillance internationale ! Pas un mot, une pensée israélienne, pas un geste politique n’échappent en conséquence à leurs multiples examens !

Inscrivez-vous pour recevoir par courriel les nouvelles publications du blog

Israël, depuis sa renaissance sur la terre de ses ancêtres, n’a eu d’autres rêves que de vivre en paix dans ses frontières. Une paix que beaucoup lui refusent et que d’autres, par mercantilisme, peur et/ou antisémitisme, donnent la main.

Ainsi, si la résolution 242 de 1967 exige, pour ceux qui savent lire correctement, un retrait DE territoires pour que l’Etat du peuple juif puisse, enfin, se doter de frontières sûres, et donc défendables, les ‘’faiseurs de paix’’ parlent, quant à eux, d’un retrait aux « frontières de 1967 » avec quelque échanges acceptés de part et d’autres. 

Autrement dit, retrait quasi-total sur ce que les experts nomment les « frontières d’Auschwitz » !

Quelques uns sont même prêts à voter prochainement au Conseil de Sécurité une résolution dans ce sens, avant même l’exigence d’une reconnaissance pleine et entière du monde musulman, Hamas et Hezbollah entre autres « résistants » compris, d’Israël comme étant l’Etat du peuple juif.

Une résolution contraignante qui ne résoudra pas le conflit car si les « frontières de 1967 » n’ont jamais existé ni ne sont sûres, et l’abandon d’un « droit au retour des descendants des réfugiés palestiniens en Israël même » jamais exigé, l’Etat d’Israël sera tout de même mis en demeure d’accepter ces oukases ! 

Des ‘’frontières’’ expropriant de surcroît la veille ville de Jérusalem et le Mont du Temple, premier lieu saint du Judaïsme !
   
L’Etat d’Israël est peut-être un « petit pays de merde », mais certainement pas suicidaire ni désireux de renoncer à sa quintessence !

 Le peuple juif debout à jamais

Autre lecture et donc autre décision de la ‘’communauté internationale’’.

Le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a eu vent d’un accord entre Obama et Poutine concernant un retour du plateau du Golan aux mains des Syriens, quel que soit la forme que prendra la réconciliation nationale. Un territoire devenu un havre de paix et de vie depuis qu’il est entre les mains israéliennes, alors qu’il servait de fortin à l’armée des Assad.

Le tir aux Israéliens de ce plateau était de rigueur avant 1967.

« Nous allons renforcer les implantations, l'industrie et l'agriculture, par les décisions que nous prenons aujourd'hui, il est temps que la communauté internationale reconnaisse deux faits: La frontière ne va pas changer, peu importe ce que ce passera du côté syrien. Le temps est venu après 50 ans de reconnaître la souveraineté israélienne sur les hauteurs du Golan »

N’ayant rien de plus urgent à s’occuper, les USA d’Obama se sont empressés d’assurer que « Le plateau ne fait pas partie d'Israël et c’est ainsi depuis 1967. La discussion sur l’avenir du plateau devrait être décidée dans des négociations. À l'heure actuelle, il y a un problème pour négocier en raison de la situation en Syrie ».

Pour l’Allemagne, « C’est une violation du droit international. Le plateau fait partie du droit international et de la Convention des Nations Unies, aucun pays ne peut déclarer qu’une partie lui appartient aux dépens d’un autre pays ».

S’il y a négociation et donc possibilité que ce territoire reste entre les mains israéliennes, pour les ‘’faiseurs de paix’’ il est hors de question de laisser accroire cette possibilité et que cette logique bénéficie à ce « petit pays de merde » !

D’où ces réactions immédiates qui ne pouvaient attendre !

jeudi 7 avril 2016

Michael Gove, ministre de la Justice britannique contre les antisémites de B.D.S

Lors d'une conférence organisée par le tabloïd The Algemeiner, le ministre de la justice britannique a certifié que : « L'antisémitisme a changé et trouve maintenant son expression dans l'opposition à l'identité collective du peuple juif et à l'existence de l'Etat d’Israël ».


Une confirmation politique anglaise survenant après plusieurs condamnations judiciaires françaises de B.D.S. pour délit de «  provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée  ».

lundi 4 avril 2016

Paroles fortes de Shmuel Trigano

Vidéo d'extraits d'une interview du Professeur Shmuel Trigano sur le conflit proche-oriental.


vendredi 1 avril 2016

Stop à la construction illégale européenne

Violant sa signature des Accords d'Oslo, l'Union Européenne se permet en Judée et en Samarie ce qu'elle tente d'interdire aux véritables propriétaires de ces régions.



Mahmoud Abbas, le Pinocchio ‘’palestinien’’

Le Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, après avoir reçu à Ramallah prés d’une soixantaine d’Israéliens, voyant en lui ‘’un bienfaiteur de la paix’’, a accordé une interview au magazine de la seconde chaîne israélienne Ouvda.

Après son visionnage, tout téléspectateur s’interrogera sur l’incapacité d’Illana Dayan à poser de simples mais importantes questions !

Parmi le lot de questions restées en suspens, quatre auraient dues êtres placées sans délai !

La première d’entre elles, la plus tragique, est de savoir si, comme l’affirme le Raïs de la Mouqata’a dans l’entretien, il est pour une solution de paix de deux états… mais pour DEUX peuples ?

Autrement dit, les Israéliens et le peuple juif en Israël et le ‘’peuple palestinien’’ en ‘’Palestine’’ ! Ce qui signifie l’abandon de l’exigence idiote d’un « droit de retour des réfugiés » au sein de l’Etat du peuple juif ! Revendication qui, par le jeu démographique, transformera à terme l’Etat d’Israël en un énième pays musulman, défaillant comme les 56 autres !

Une question primordiale mais toujours ignorée dans les moments propices ! Une question à laquelle chacun connaît, cependant, la triste réponse !

La deuxième interrogation est de savoir si Abou Mazen croit sincèrement que les Israéliens, et avec lui le peuple juif de la diaspora, abandonneront la veille ville de Jérusalem et son lieu saint entre les mains d’un ‘’peuple’’ qui n’a pas de passé, n’a jamais été propriétaire d’une terre, ni même d’une simple pierre de cette ville, ni été son fondateur ? 

Un ‘’troisième lieu saint’’ musulman qui le devint par miracle dès 1967 !

La troisième demande aurait été d’estimer la revendication d’une « Palestine » forcément judenrein ? Un pays vivant en paix au côté d’Israël donc, installé notamment en Judée, le berceau du Judaïsme et dont « Juif » est tiré étymologiquement, et qui se devrait d’être purifié par la destruction des « colonies » et l’expulsion des « colons » ?

Qui et quoi empêcheraient ceux-ci de devenir villes et citoyens du pays à naître ? Hormis l’antisémitisme, rien d’autre !