mercredi 31 octobre 2012

Gideon Levy, le baron de l’industrie du mensonge


On ne présente plus le journaliste Gideon Levy ni le quotidien Haaretz. Une paire israélienne qui sert de référence à tous les antisionistes que compte la planète. Une qualité qui sert de paravent à ceux qui ont la haine du Juif. Il y a peu, ce couple indigeste avait diffusé un article étayé par un sondage assurant que « La plupart des Israéliens sont favorables à un régime d’apartheid en Israël ». Après le tollé causé par cette affirmation, un article correcteur intitulé « Nous nous sommes trompés mais… » est venu tenter d’amender l’effet négatif d’une lecture précipitée de cette enquête d’opinions mais non pas désintéressée.

Gideon Levy a, en effet reconnu que « Le titre de (son) article la semaine dernière était trompeur. La plupart des Israéliens sont en faveur d’un régime d’apartheid, mais seulement si les territoires occupés sont annexés ; toutefois, la plupart des Israéliens s’opposent à l’annexion ». ‘’Erreur’’ ( ?) de lecture  cruciale escamotée par l’idéologie nauséeuse qui traine dans ce milieu de gauche et qui a en sainte horreur tout nationalisme forcément « raciste » dixit Lévy. Un texte qui lui permet de persister et de signer son accusation de « racisme ».

Un ‘’racisme’’ anti-arabe qui voit cependant une communauté musulmane d’environ vingt pourcent de la population s’épanouir et jouir d’un régime politique que jalousent tous les autres peuple arabes.

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Un ‘’racisme’’ dont les tenants se voient confrontés depuis l’an 1948, voire auparavant, à une haine farouche et une tentative d’éradication de leur pays. Toutes deux niées par ‘’l’humaniste’’ que se prétend être ce journaliste.

Peut-on en effet reprocher aux Israéliens de vouloir protéger leur pays, leur culture et leur mode de vie ?

Peut-on les critiquer d’avoir construit des clôtures de sécurité que d’autres idéologues nomment à dessein de ‘’séparation’’ ?

Peut-on oublier l’histoire qui a vu les Juifs n’être que des citoyens de seconde zone en terre d’Islam mais aussi ailleurs ?

Peut-on ignorer l’antisémitisme actuel qui sévit un peu partout y compris au sein de l’occident et reprocher à cette grosse minorité, apeurée, de vouloir protéger son lopin de terre de l’Islam, lieu qui lui permettra de vivre dignement et en sécurité ?

En conclusion de son article correcteur trompeur, Gideon Levy demande à ce qu’on lui apporte « un autre sondage fiable qui prouve que la société israélienne n’est pas aussi raciste et nationaliste que présentée dans cette enquête. Ce serait vraiment bien faire les choses ».

L’exemple vérifié d’un nombre de plus en plus croissant de ‘’Palestiniens’’ demeurant à Jérusalem, demandant et obtenant la nationalité israélienne suffira t-il à contenter la demande ? Comment sinon expliquer que ceux-ci désirent vivre au sein d’un peuple souhaitant l’installation de « l’apartheid » en son sein ?

La demande d’un sondage similaire sur les Juifs au sein des populations frontalières ‘’palestinienne’’, libanaise, syrienne, jordanienne ou encore égyptienne relativisera t-elle le résultat de l’opinion israélienne ? Des populations arabes nationalistes au possible et, faut-il le rappeler, nettoyées de toutes présences de Juifs depuis plusieurs décennies et où règne l’antisémitisme d’état.

vendredi 26 octobre 2012

Le démon antisémite Houria Bouteldja


« Antisémitisme : le retour des vieux démons ? » était le sujet de l’émission Ça vous regarde, diffusée sur La Chaîne Parlementaire (LCP),  laquelle recevait, entre autres invités, l’ancienne porte-parole des Indigènes de la République Houria Bouteldja. Venue y ‘’dénoncer’’ l’antisémitisme elle n’y montra que celui qui l’habite profondément. Si la forme pouvait faire illusion quant à sa participation à ce combat, le fond n’a pu tromper ceux qui connaissent les maniements de langage de tels individus. Un verbe qui n’a comme objectif que celui d’amener le téléspectateur à accuser le Juif, toujours le Juif, rien que le Juif.

Sa première intervention fut pour dénoncer les « tensions, hostilités et les haines intercommunautaires » dues, entre autres, à « la création de l’état d’Israël ». Chacun, évidemment, se questionnera quant à la part de responsabilité de la communauté juive française dans la croissance de l’antagonisme « intercommunautaire ». Si des femmes, hommes et enfants juifs, sans parler de leurs lieux de cultes et/ou commerciaux sont de plus en plus pris à partie par des musulmans au nom de leur sympathie pour l’Etat d’Israël, le contraire n’a jamais encore été démontré. Ce qui ne gène guère ‘’l’indigène’’ Bouteldja pour le certifier.

L’allégation suivante fut de soutenir que pour lutter contre l’antisémitisme, « il faut lutter contre le Sionisme, cette idéologie qui lie le sort de tous les juifs à Israël qui est un pays colonial, raciste et qui commet des crimes de guerre ». 

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Ainsi sont innocentés d’avance tous ceux qui s’en prennent aux Sionistes, vrais ou supposés, et qui permettront, ‘’au nom des droits de l’homme’’, la chute de ce pays ‘’maléfique’’. Un pays où la Cour de Justice punit toutes formes de racisme, qui a été innocenté de l’accusation de crimes de guerre par Richard Goldstone lui-même et qui gère un territoire disputé et non occupé selon le rapport d’un ancien juge de la Haute Cour de Justice. Des charges sans fondement mais qui permettent d’accuser ceux qui soutiennent de près ou de loin le pays qui serait leur seul refuge dans le cas, de plus en plus vraisemblable, d’une multiplication d’indigènes antisémites à l’image d’Houria Bouteldja.

Son troisième point fut son refus que l’on désigne les quartiers populaires comme le « terreau de l’antisémitisme », malgré les rapports de police et de justice assurant, tous, le contraire. Des quartiers qui sont, selon son avis, « les premières victimes du racisme en France », qui « subissent un racisme structurel » mais dans lesquels, cependant, nul n’est assassiné ni agressé corporellement comme l’est actuellement la communauté juive française.

lundi 22 octobre 2012

La France vue par la télé russe


Quel média télévisuel français osera diffuser ce reportage vidéo russe ? Quel sera le quotidien, l’hebdomadaire ou le mensuel français qui comprendra l’impérieuse nécessité d’informer les citoyens sur la situation actuelle catastrophique de la France ? Quel homme et/ou parti politique se risquera à rompre ce mutisme sur l’immigration musulmane, véritable poison de la culture occidentale ?

La France de notre enfance a-t-elle disparu à jamais ?



jeudi 18 octobre 2012

Lorsque Gilles PARIS s’interroge sur Mahmoud ABBAS


L’ancien envoyé permanent en Israël du quotidien Le Monde tient un blog intitulé Guerre ou Paix consacré principalement au conflit israélo-arabe. Il est inutile ici de revenir sur le nombre de fois où Gilles PARIS, à la suite de ses articles, s’est fait "taper sur les doigts" pour cause de sa vision idéologique. En revanche, il est intéressant de noter son nouveau questionnement sur la parole, selon sa propre qualification, « déceptive » du Président de l’Autorité palestinienne. Une parole propre à décevoir et à tromper les attentes de seuls ceux qui refusèrent et refusent toujours de mal nommer les choses. 

Dans un article intitulé « Quand Mahmoud Abbas contredit Mahmoud Abbas » Gilles PARIS confronte les dires de celui-ci concernant la proposition de paix d’Ehud Olmert. Le dirigeant de l’AP aurait, le quatorze octobre dernier, revisité « l'histoire de ses négociations en 2008 avec Ehoud Olmert, alors premier ministre israélien. Le dernier en date à avoir formalisé une offre de paix à ses interlocuteurs palestiniens. Un accord était possible, avec un peu plus de temps, assure M. Abbas. Sauf que... Sauf qu'en fouillant dans les archives de ce blog, on trouve dans la bouche du même, en juin 2009, une formule plus...déceptive ».

Voici ce qu’il déclara en 2009 selon le journaliste:

« Dans notre réunion de mercredi, M. Abbas a reconnu que M. Olmert lui avait montré une carte proposant un Etat palestinien sur 97 pour cent de la Cisjordanie - mais il s'est plaint que le dirigeant israélien a refusé de lui remettre une copie du plan. Il a confirmé que M. Olmert a " accepté le principe du" droit au retour " des réfugiés palestiniens - quelque chose qu'aucun précédent premier ministre israélien n’avait fait - et a offert d’en réinstaller des milliers en Israël. Dans l'ensemble, l'offre de paix d'Olmert était plus généreuse envers les Palestiniens que celles de Bush ou Bill Clinton. Il est presque impossible d'imaginer Obama ou tout gouvernement israélien aller plus loin. Abbas a refusé " Les écarts étaient grands" a-t-il dit. »

Gilles PARIS est, selon toute vraisemblance, déçu de ce double langage mais n’a toujours pas analysé l’objectif de celui-ci. Dans quelque mois vont se tenir les élections législatives israéliennes et Ehud Olmert est tenté de revenir en politique. Cette carte connue, Mahmoud Abbas l’encourage en lui promettant, en quelque sorte, de revoir, avec bienveillance, sa dernière offre.

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Dans les faits, ceux qui n’attendent plus rien de l’AP et connaissent sa parole trompeuse savent pertinemment que le seul objectif est de contraindre cet éventuel futur Premier ministre à encore plus de concessions et notamment une ouverture plus large des frontières envers les « réfugiés palestiniens ». Un nombre qui puisse, par la démographie, changer la quintessence du seul état juif en cette planète et non seulement cinq mille comme proposé alors.

mercredi 17 octobre 2012

Charles Enderlin s’ennuie


Rendez-vous compte ! « le conflit israélo-palestinien a quasiment disparu des médias français ». « A Jérusalem et à Tel Aviv, les bureaux des chaines internationales ont littéralement fondu. ABC, CBS, ont fermé. ABC n’est plus représenté que par un seul journaliste », nous dit Charles Enderlin sur son blog. Qu’en est-il du bureau de France 2 à Jérusalem ? La direction de cette chaîne va-t-elle rapatrier ce ‘’grand professionnel’’ qui a vu Mohamed Al-Dura ‘’mourir de la main israélienne’’ sans pour autant qu’il soit sur place ? Nous n’en saurons rien ! 

La peur étant mauvaise conseillère, Charles Enderlin met donc son petit blog à la disposition de ce « conflit oublié », probablement pour tenter de le ressusciter.

Sans omettre, évidemment, de s’en prendre d’abord aux « organisations pro-israéliennes à l’affut de chaque reportage considéré comme pro-palestinien. Par exemple, le magazine « Un œil sur la planète. Palestine », diffusé en octobre 2011, a suscité une véritable tempête, avec des interventions du CRIF et de l’Ambassade d’Israël. Même si les auteurs de l’émission ont eu le soutien du CSA et des sociétés de journalistes, les rédactions savent à quoi s’attendre si elles remettent le couvert recevant, à coup sur, critiques injustifiées, accusations d’antisémitisme voir menaces. Pourquoi, en l’absence d’actualité incontournable, prendre des risques et diffuser un sujet qui, aussi exact soit-il, va immanquablement, créer la polémique ? ».

Des organisations qui sont toutes, chacun l’aura compris, lobotomisées par ‘’l’idéologie colonialiste et militariste’’ israélienne et prêtes à menacer verbalement et/ou physiquement tous leurs contradicteurs. Toutes choses qui effraient ces si talentueux ‘’journalistes’’ de la trempe de notre envoyé permanent à Jérusalem. Un journaliste dont on s’étonne cependant qu’il ne joint pas à sa diatribe le lien de la vidéo du Crif, pourtant cité, afin que ses lecteurs soient juges par eux-mêmes : « Droit de regard, le film réponse du Crif au magazine de France 2 "Un oeil sur la planète" ».

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Est-ce par peur que ceux-ci s’aperçoivent que la critique était largement fondée et que l’appui du CSA et des Sociétés des Journalistes n’est plus une garantie de moralité suffisante ?

Le côté risible de tout cela est que Charles Enderlin aperçoit systématiquement la paille qui est dans l’œil de tout pro-israélien mais pas la poutre ‘’palestinienne’’ qui l’aveugle et dont chacun trouvera aisément trace dans sa dernière diatribe.

Une satire qui insinue qu’il existe un seul conflit oublié par les médias alors qu’ils sont des dizaines et souvent bien plus meurtriers que le conflit israélo-arabe.

Ainsi, on pourrait citer le conflit oublié entre l’Arménie et  l’Azerbaïdjan concernant le Haut-Karabagh. Ou celui entre les indépendantistes sahraouis du front Polisario et le Maroc qui se disputent le Sahara occidental. Ou encore la République démocratique du Congo où se trouvent de plus en plus de déplacés et de blessés de guerre. Et pour clore cette petite liste non exhaustive celui du Sud thaïlandais qui continue de se battre pour obtenir une autonomie.

Quels médias parlent de ces conflits largement oubliés, notamment par l’opinion publique ?

mercredi 10 octobre 2012

Le côté hideux de Riposte Laïque


Pour quelles raisons certains rédacteurs de Riposte Laïque se sentent de plus en plus obligés de prévenir, dans le corps de leurs articles, toutes accusations d’antisémitisme à leur encontre ? N’est-ce pas une façon détournée de reconnaître le bienfondé d’une telle charge et de tenter, par ce subterfuge, de désarmer, d’avance, leurs contradicteurs ?

Ainsi, Caroline Alamachère, dans un article intitulé « MM. Bernheim et Mergui, arrêtez d’accuser les Gaulois des crimes racistes commis par des musulmans ! » s’était sentie contrainte d’indiquer en post-scriptum: « afin de garantir toute tentative d’accusation déplacée et inacceptable d’antisémitisme, je précise que mon compagnon est… juif ».

Sauf à rappeler que tout antisémite a toujours son ‘’bon juif’’, l’article a le seul ‘’mérite’’ de réduire MM Bernheim et Mergui, respectivement Grand Rabbin et Président du Consistoire central israélite, à n’être d’abord que deux individus emblématiques d’une communauté juive réclamant réparation, protection et justice mais aussi ‘’oublieuse des devoirs et de la solidarité dus à la France’’. Une communauté contestée dans ses revendications, dans un article ordurier, par l’auteure qui se revendique « souchienne ». Une « gauloise » qui refuse de reconnaître la part française de la collaboration vichyssoise avec l’Allemagne nazie, mais qui, au moment opportun, se glorifiera sans l’ombre d’un doute de la part belle offerte par ses Justes.

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Stéphane Bornat, autre rédacteur de Riposte Laïque, a quant à lui écrit dans un style approchant un article intitulé « Trop de juifs français militent pour une immigration musulmane et pour l’islam ».

Si l’auteur précise en conclusion « Je ne suis pas dans un délire antisémite car, étant laïc, je ne suis pas entrain de critiquer cette religion mais les prises de position au nom de cette religion dans l’espace public », rien n’empêchera le quidam d’être heurté par l’adverbe « trop » du titre ! D’autant plus lorsqu’il s’apercevra que les quelques rares juifs recensés par l’article, Dray, Jacubowitz, Klugman, Fabius, Kouchner, le maire de Toulouse M. Cohen, et pour terminer Valls, ne se distinguent pas particulièrement par leur judaïsme, n’ont jamais parlé au nom de cette religion ni n’arborent de ‘’particularités juives’’ telles les doigts crocus ou de nez prééminent qui permettrait de les reconnaître parmi cent comme l’enseigna à une certaine époque la propagandastaffel.

samedi 6 octobre 2012

La Gauche, Israël et les Juifs


Le chapitre X du livre de Jacques Hermone, titré « La Gauche, Israël et les Juifs » et paru en 1970, est intitulé « Le Monde se moque du monde ». Un chapitre consacré au seul tabloïd Le Monde et à son hostilité systématique envers l’état juif dans les années soixante. Des méthodes et des termes choisis que chacun retrouve de nos jours, quatre décennies plus tard, sous la plume des ‘’envoyés’’ spéciaux ou permanents en terre sainte et autres ‘’analystes’’ attitrés du journal.

Ci-dessous les pages scannées de ce chapitre si lucide quant à l’idéologie fétide qui mène ce quotidien. Un livre que chacun peut, encore aujourd’hui, commander à la Fnac pour 6.37€ port compris.

Merci à Giora Hod de nous l’avoir fait (re) découvrir.




vendredi 5 octobre 2012

Question au journaliste Alain Frachon du quotidien Le Monde


Il y a des individus qui n’admettent pas que le conflit proche-oriental soit « chassé des "unes" de la presse, (et) ignoré du journal télévisé ». Alain Frachon, ancien rédacteur en chef du quotidien Le Monde, regrette dans un article intitulé « Le conflit Israël-Palestine a disparu » la perte de sa « centralité ». « Ce n'est pas bon signe. Chaque fois qu'il en a été ainsi, l'affrontement entre Israéliens et Palestiniens s'est rappelé au bon souvenir de tout le monde – en général de façon violente ».

Sans douter une seconde que les médias, français notamment -Le Monde compris, feront ce qu’il faut pour lui redonner toute sa ‘’centralité’’ perdue au moment opportun et s’il est aisé d’ergoter sur son analyse, il est cependant beaucoup plus intéressant de réfléchir sur un passage qui permet aux lecteurs de lire la pensée subliminale de l’auteur concernant un éventuel accord de paix.

Pour celui-ci, au-delà du choc majeur entre le chiisme et le sunnisme au travers des différentes guerres régionales, l'abcès israélo-palestinien ne ferait pas figure de mal bénin. « Erreur. S'il n'est pas "stratégique", il reste "central" à sa manière – même s'il s'agit aujourd'hui d'un conflit dit de "basse intensité". Il concentre une partie de la rancœur des Arabes à l'endroit des Occidentaux. Il fixe un sentiment d'humiliation, fondé ou non, qui entretient au Proche-Orient un antiaméricanisme latent, toujours prêt à exploser en bouffées de violence éruptive, comme on vient de le voir en Egypte et en Libye. Enfin, il nourrit une partie du discours djihadiste. Ce n'est pas marginal ».

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Suite à cette lecture, nul ne peut douter plus longtemps qu’il faille au plus vite régler ce conflit de façon à ce que la ‘’rancœur, l’humiliation et le discours djihadiste’’ disparaissent de la Umma. Pour cela, le journaliste reprend à son compte l’idée de Mahmoud Abbas qui assure que la « colonisation » israélienne  « affaiblit chaque jour un peu plus la solution préconisée par l'ONU, les Etats-Unis, la Russie, la Chine, l'Europe, etc. – la solution dite "des deux Etats", qui verrait un Etat de Palestine coexister pacifiquement au côté d'Israël ».

Sauf que !