samedi 29 octobre 2005

L’Islam est le danger

Ainsi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad -élu récemment par une élection parodiant celles de nos démocraties- a déclaré, lors d’une conférence intitulée « Le monde sans sionisme », qu’Israël doit être « rayé de la carte (…) comme l’a dit l’imam Khomeyni » ; « La nation musulmane ne permettra pas à son ennemi historique de vivre en son cœur même ».

Son ministre des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a renchéri en affirmant qu’« Israël est un état illégitime qui doit disparaître de la carte du monde, et la condamnation internationale des propos du président ne servent qu'à couvrir les crimes perpétrés par l'Etat hébreu contre les Palestiniens ».

Mais qu’ai je donc fait, moi qui suis nouvellement installé en Israël, pour être condamné à devenir ( comme mes pères ) apatride et en quête de nouvelle terre d’accueil ?

Qu’a donc fait mon fils âgé seulement de six ans, mais aussi tous ses camarades d’écoles, pour mériter le même sort, alors que le caveau des patriarches, le tombeau de Joseph, la tombe de Rachel ou, encore mieux, le Mur des Lamentations -vestige du Temple saint du Judaïsme- sont les preuves ( parmi d’autres ) intangibles de la présence de ses aïeux en cette terre mais aussi de la culture qui la marque à tout jamais ?

Faut il, parce que conquit par la force (déjà !), que le peuple juif renonce à ses droits historiques sur cette terre face à l’exigence musulmane ?

Il est donc temps que le monde des lumières -celui de la Liberté, l’Egalité et la Fraternité pour tous les hommes- comprenne que l’Islam EST le danger -présent et à venir- pour avoir enfanter l’islamisme. Doctrine sectaire qui, après avoir combattu les Juifs, se retournera contre les Chrétiens, les Protestants, les Bouddhistes, les Mécréants et autres Laïques.

Il est temps, également, que les musulmans modérés, si ils existent, bataillent contre cette guerre de civilisation qui s’annonce, mais aussi qu’ils épurent du Coran tous les versets sataniques s’y trouvant jusqu’à le réduire à sa plus simple expression. A savoir l’amour du prochain quel qu’il soit.

Dans l’attente de ce temps, qui prendra un certain temps -voire un temps certain vu les lâchetés et les intérêts mercantiles des uns et des autres-, j’appuierai de toutes mes forces les décisions du gouvernement israélien, quel qu’il soit, de foutre une belle claque à tous ces tarés d’Allah avant même qu’ils finissent de préciser leurs menaces.

Cela sera de la légitime défense, n’en déplaise à tous les thuriféraires médiatiques de l’Islam.

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Sur le même sujet, voir cette vidéo : Qui a peur de l'Islam ?

lundi 24 octobre 2005

A quoi sert R.S.F. ?

On connaît tous l’ONG Reporter Sans Frontière, présidée par Robert Ménard, qui a comme combat unique la liberté de la presse à travers la planète. Noble combat que nul, sauf à être considéré comme censeur, ne peut désavouer, voire combattre. Cependant, il est des luttes de progrès, qu’à trop étreindre, elles finissent par se pervertirent et donner des résultats contraires à toutes attentes conforment aux valeurs et aux droits de nos sociétés occidentales.

Il en est ainsi, faut il se le rappeler, du voyage à Beyrouth du Président de cette Ong, afin de soutenir la télévision du Hezbollah Al-Manar dans son désir d’émettre LIBREMENT son programme antisémite sur la fréquence européenne. Que cette Ong fut la seule association occidentale à faire le déplacement n’embarrassa guère, semble t-il, sa direction et encore moins les militants.

Il en est ainsi, encore, de la liste de « Prédateurs de la liberté de la presse » publiée sur son site Internet et où Ariel Sharon côtoyait que de la ‘’bonne compagnie’’. Tels les dictateurs iranien, syrien et autre coréen.

Dans ces deux exemples n’est pourtant pas le plus absurde et dangereux.

Depuis quatre années, cette association publie un « Classement mondial de la liberté de la presse » en se basant sur les réponses, à un questionnaire pré-établi, de son réseau de 130 correspondants, mais aussi de journalistes, de chercheurs, de juristes, de militants des droits de l’homme ou d’organisations partenaires dans la défense de la liberté d’expression dispersées sur les cinq continents. Bref ! Un panel choisi d’intellectuels sensés nous informer, par leurs réponses supposées objectives, du niveau exact de liberté dans chaque contrée.

Et pourtant, chaque publication de ce ‘’baromètre’’ nous donne l’occasion de mesurer le degré d’idéologie nauséeuse qui dénature l’objet de cette Ong.

Il en est ainsi de celui de 2002, qui nous indiqua, contre toute attente, que la seule démocratie du Proche et du Moyen-Orient -Israël- ne méritait pas mieux que la 92e place des 139 pays sélectionnés. Il est vrai que le classement fut établi quelques mois après le « massacre de Djenine » que la presse -libre de toute rigueur-, dans son ensemble, s’empressa de dévoiler. Cependant, la surprise vint de la 82e place obtenue par l’Autorité palestinienne alors présidée par le Raïs défunt, « empoisonné » depuis, paraît il, par « l’entité sioniste ». Place qui laisse logiquement déduire que les clips vidéo et/ou les prêches d’Imams (parmi d’autres ), diffusés par la télévision d’état ‘’palestinienne’’, exprimant la haine du Juif et de l’Israélien, reflètent les choix de journalistes libres et indépendants de toutes pressions venant de plus haut…

LIBERTE de médire que les journalistes israéliens, dignes de ce métier, refusent d’acquérir, cela va sans dire.

Le classement de 2003, suite au ridicule de la classification de 2002, fut contraint de revoir la ‘’notation’’ d’Israël et de l’Autorité palestinienne. Ainsi ‘’l’attitude’’ des autorités israéliennes envers la presse fut scindée en deux fractions. La première concerna l’intérieur de la ligne d’armistice de 1949 qui obtint la 44e place, et la seconde -‘’observée’’ en Judée, Samarie et Gaza- mérita la 146e place, bien après des pays tels que le Soudan (alors en plein génocide du Darfour que la presse eut du mal à faire connaître), le Liban occupé par la dictature syrienne, ou encore le Zimbabwe redistribuant de force les terres agricoles labourées et appartenant depuis des lustres à les blancs natifs du pays. 146e place acquise ( probablement ) parce que les « Israéliens prennent plaisir à humilier les ‘’Palestiniens’’ », dixit un ‘’intellectuel’’ français palestinophile…

L’Autorité palestinienne, quant à elle, recula à la 130e place. Les yeux des ‘’observateurs’’ interrogés par RSF se sont, semble t-il, alors ouverts cette année là.

Le classement de 2005, quant à lui, met l’accent sur le recul de plusieurs démocraties occidentales. Israël, « suite à l’expulsion d’une journaliste française en juillet dernier ». Les Etats Unis, de par « l’incarcération de la reporter du New York Times, Judith Miller, et de mesures judiciaires qui mettent à mal la protection du secret des sources ». Le Canada qui « transforment les journalistes en ‘’auxiliaires de justice’’ ». Ou encore la France « par les perquisitions de locaux de médias, des gardes à vue de journalistes et la création de nouveaux délits de presse ».

La ‘’démocratie palestinienne’’, quant à elle se morfond à la 132e place (sur 167 pays) suite à l’enlèvement de quatre journalistes.

Classement 2005 qui prouve, si besoin était, que le journalisme selon RSF ne peut souffrir des lois écrites par les représentants du peuple, mais aussi des contraintes judiciaires que le commun des mortels est sensé respecter. Une liberté non négociable, exigée par une pression ‘’abusive’’ sur les élus, craintifs de se voir vilipendés à longueur de colonnes et perdre ainsi les suffrages de leurs électeurs et, donc, leurs emplois.

Attitude exécrable d’un ‘’quatrième pouvoir’’, qui se veut représenté par une Ong financée par les deniers publics et s’attribuant d’office une place de juge de nos consciences et des valeurs des Droits de l’Homme, surtout lorsqu’il s’agit de ‘’journalistes’’.

Pour être tout à fait honnête et complet, il faut reconnaître que RSF -à travers ce travail de notation annuel- affirme, en une ligne, ne pas réaliser un « indicateur de la qualité de la presse ».

Effectivement ! Il ne faut pas confondre la liberté de l’information et celle de l’endoctrinement.

vendredi 21 octobre 2005

Arafat, le poison éternel du Juif

(Article paru dans le bi-mensuel francophone et israélien du 21 octobre 2005 : L’ENJEU )

En matière de propagande anti-israélienne et antisémite, l’Autorité palestinienne, créée dans la foulée des accords d'Oslo, n’a pas dérogé aux règles établies depuis de très longues décennies par les gouvernements arabo-musulmans : la haine du Juif, de ‘l’entité sioniste’, de la culture israélienne et du Judaïsme a été érigée en système politique et a sans cesse rythmé les discours officieux des dirigeants palestiniens. Fidèle à ces principes, et cherchant une fois de plus à nuire à l’honneur d’Israël, l’AP vient de créer une commission d’enquête chargée de faire la lumière sur la mort d’Arafat.

Le Conseil législatif palestinien – nonobstant la frayeur que ses députés ont endurée en apercevant des policiers envahir leur lieu de débats et faisant usage de leurs armes afin d’obtenir au plus vite la réalisation de leurs exigences professionnelles – a constitué une commission d’enquête sur la mort de leur Raïs, Yasser Arafat, cherchant ainsi à détourner l’attention de leur peuple de la misère qui le gangrène et de la corruption qui ronge la classe dirigeante. Une fois encore Israël a été accusé, une fois encore Israël doit faire face à la pire des diffamations, l’empoisonnement.

Alors qu’elle est dans l’impossibilité d’accéder officiellement au dossier médical, que seuls les proches parents peuvent consulter, cette commission parlementaire s’est fixé pour objectif d’établir la vérité sur les possibilités réelles d’empoisonnement de leur chef mythique. Mais le bruit qui a été fait autour de la création de cette commission est surtout destiné à accréditer au sein de la population la thèse de la culpabilité israélienne. A l’époque de la mort du chef de l’OLP, les autorités médicales françaises avaient délivré un permis d’inhumer le cadavre, sans saisir auparavant la justice française comme la loi du pays les y oblige dans le cas de soupçons de meurtre. Cependant, la commission parlementaire palestinienne a été nommée malgré le fait que la veuve d’Arafat, Souha, refuse toute autopsie et que la première commission instituée par le cabinet palestinien, il y a plusieurs mois, n’a toujours pas rendu son rapport. Ce qui, évidemment, n’embarrasse nullement les représentants politiques les plus en vu du clan arafatien pour désigner Israël comme ‘empoisonneur’ de leur chef.

Sur quoi repose l’accusation ?

Leila Shahid, alors représentante de l’Autorité palestinienne en France, affirmait que la thèse de l’empoisonnement « …n’est pas seulement une rumeur. C’est une conviction profonde très logique » car « …les Israéliens ont essayé de se débarrasser de Yasser Arafat, depuis l’arrivée de Sharon au pouvoir (…) Je ne peux pas vous dire que, médicalement, nous en ayons les preuves » mais « les médecins n’ont pas démenti… » (sic). Autre affirmation ! Le neveu du Raïs, Nasser al-Kidwa, à l’époque représentant permanent de l’Autorité palestinienne auprès de l’ONU, ajouta son accusation sans appel à celle de Shahid en affirmant que la possibilité que le défunt ait été empoisonné était « notre plus grand soupçon. Si sa mort était normale, il aurait été possible d'établir un diagnostic, (…) mais la condition de Yasser Arafat était si compliquée qu'aucun diagnostic n'était possible » (re sic).

Transféré du poste de représentant auprès de l’ONU au poste de responsable des Affaires étrangères de l’AP, Nasser al-Kidwa récidive récemment dans une interview à un journal Koweïtien en réclamant, cette fois-ci, une enquête sur la probable implication du Premier ministre israélien Ariel Sharon dans la décision de cet ‘assassinat politique’. Accusation qui entretiendra, voire ravivera, au sein de la population palestinienne la haine des Israéliens, et en conséquence des Juifs, faisant ainsi le jeu du Hamas qui attend des jours meilleurs pour l’instauration d’un Etat islamique du Jourdain à la mer méditerranée. Fidèle parmi les fidèles du clan arafatien, il est donc fort concevable de douter de la volonté du responsable des Affaires étrangères de l’AP de collaborer à l’effort de cohésion nationale et de développement économique, aussi minime soit-il, de son président Mahmoud Abbas. Les personnages les plus hauts placés dans la hiérarchie de l’Autorité palestinienne n’hésitent pas à accuser, sans preuves sérieuses, le peuple israélien, comme l’ont fait bien avant eux tant de nations cherchant des excuses à leurs exactions qui allaient du simple vol jusqu’aux meurtres et se transformaient, au fil de leur barbarie, en pogroms et génocides. Attitude largement partagée par d’autres procureurs permanents du peuple juif. L’icône du peuple palestinien est devenue également l’icône du combat anti-israélien, quel que soit le gouvernement en place.

Ouri Avinéri, de l’association israélienne Goush Shalom, affirme dans un article intitulé ‘Qui a tué Arafat’ publié le mois dernier : « Dès le premier moment, j’étais sûr qu’Arafat avait été empoisonné. » Affirmation péremptoire, corroborée dans son texte par une analyse succincte des intérêts ponctuels des Israéliens, voire de ceux des américains. De surcroît, il tente de crédibiliser sa position par le fait qu’il se proposa volontairement par deux fois comme ‘bouclier humain’ pour défendre la vie d’Arafat (sans préciser pour autant les circonstances exactes des événements). Ce même Arafat qui n’hésitait pas à donner son aval aux exécutions sommaires de prétendus ‘collaborateurs’ d’Israël, ordonnées dans des simulacres de procès, ou à encourager (en arabe seulement) les crimes contre l’humanité contre le peuple juif. Comme on le constate, Israël et le peuple juif n’ont que l’embarras du choix du tribunal. Mais qu’en est-il du fond du dossier ? Y a t-il réellement l’ombre d’un début d’une hypothèse ?

Le fantasme du Juif empoisonneur

Deux journalistes du quotidien israélien Haaretz, Avi Isasharof et Amos Harel, ont eu accès, par des voies détournées, au dossier médical. Selon Associated Press, les médecins qui ont établi ce dossier médical précisent : « Le dirigeant palestinien a succombé à une ‘hémorragie cérébrale massive’ après avoir souffert d'inflammation intestinale, d'une jaunisse et d'un problème sanguin [une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD)], sans donner, pour autant, la cause précise de cet état qui peut avoir plusieurs origines, comme une colite, une maladie du foie ou une déficience immunitaire dont les symptômes sont semblables au VIH ». Ces indices autorisent, au vu de l’âge du défunt, la supposition de maladies naturelles entraînant le décès, comme par exemple la cirrhose du foie qui, dans le contexte musulman, est mal perçue. D’où l’intérêt politique de l’accusation de meurtre par empoisonnement. Avantage propagandiste qui permet d’auréoler la ‘victime’ et de noircir l’éternel ‘coupable’ désigné à la vindicte de la foule planétaire par la grâce de la participation (volontaire ou non) des principaux médias dans le monde.

Ce fantasme du Juif empoisonneur est devenu au fil du temps un véritable mythe antisémite. Pour s'en persuader, il suffit de revenir sur la très longue liste des charges portées contre ces derniers dès le début du Moyen Age. Souillure des hosties à l'époque de l'Inquisition; fable du Juif errant traînant derrière lui épidémies et calamités; puits empoisonnés pendant la Grande Peste noire au 14ème siècle; ‘Protocole des sages de Sion’, texte controuvé de 1900 dont le 10ème chapitre attribue la volonté aux Juifs de répandre des épidémies sur le monde; ‘infection juive’ à Paris en 1920; typhus du ghetto de Varsovie en 1940; ‘complot des docteurs juifs’ de Staline en 1956 ou ‘scandale du chewing-gum empoisonné’ par le Mossad en Egypte en 2002. Nul ne peut donc nier que l’amalgame ‘Juif-poison’ a été, et reste encore, un catalyseur puissant de la haine antisémite. On est donc en droit tout naturellement de s’interroger sur cette dernière controverse qui permet aux adeptes de cette nouvelle ‘conspiration juive’ de retrouver leur force et une certaine cohésion identitaire face à un ennemi invisible : les services secrets israéliens chapeautés, du fait de son poste de Premier Ministre, par Ariel Sharon, surnommé par les mêmes thuriféraires du Raïs défunt le ‘boucher de Sabra et Chatila’, bouc émissaire ‘privilégié’ de tout ce petit monde. Tout cela démontre que les préoccupations des dirigeants de l’Autorité palestinienne sont encore très éloignées des valeurs véhiculées par la démocratie et cette triste constatation préfigure un bien sombre futur pour la région.

mercredi 19 octobre 2005

Une palme pour la haine

A la lecture de certains articles, rédigés par certains journalistes de journaux bien identifiés, la certitude de lire des tracts idéologiques, et non plus des rapports de rédacteurs honnêtes et scrupuleux ayant désir d’informer leurs lecteurs, est acquise. Une certitude inquiétant tout démocrate épris du juste combat des Droits de l’homme.

Gilles PARIS, envoyé spécial du quotidien Le Monde en Israël, n’a plus à faire ses preuves quant à l’idéologie qui l’anime. Ni, d’ailleurs, le journal qui l’emploie.

Dans un article paru le 13 octobre et intitulé « Israël : pénurie de palmes pour la fête des cabanes », le conjoint de Stéphanie Le Bars, autre ‘’idéologue’’ du quotidien parisien, nous offre l’occasion d’effacer tout doute quant à son désir de nuire, au mieux, à l’état juif.

Ainsi, au détour de paragraphes nous exposant les problèmes des autorités israéliennes à importer la quantité de palmes de dattier nécessaires à la fête des cabanes commémorant l’errance à la sortie d’Egypte, le pigiste nous informe que « Dans l'urgence, le gouvernement israélien s'est tourné vers la bande de Gaza qu'il vient d'évacuer, puis de bombarder ».

De telles assertions dans des textes aussi anodins, évacuant toute explication quant à la raison de ces bombardements, confirment le parti pris anti-israélien de Paris. Un journaliste honnête et scrupuleux aurait indiqué précédemment le nombre de victimes israéliennes causées par la salve de « roquettes artisanales » tirée à partir de ce territoire.

Mais Gilles Paris ne fait pas parti de cette catégorie !

A preuve, s’il en fallait absolument une deuxième, l’affirmation dans ce même texte -et suite à l’allégation précédente du « Juif assassin »- de la qualité du « Juif rapace » laissant seulement « transiter par le point de passage de marchandises (…) Karni, fermé depuis fin septembre mais qui a opportunément rouvert » les quelques milliers de palmes coupées dans la bande de Gaza.

Assertion mensongère à croire L’Associated Press qui rapporte que « (…) selon les Palestiniens, (et afin de) réduire la pénurie de fruits et de produits laitiers dans le territoire, Israël à rouvert le point de passage de Karni situé à la frontière de la bande de Gaza (qui) était fermé de façon quasi continu depuis le 24 septembre, après des tirs de roquettes contre Israël. (…) ».

Peu de doutes ne demeurent, quant à l’animosité que porte Gilles Paris envers la démocratie israélienne garante, parmi d’autres, des valeurs qui lui permettent de penser et de vivre librement dans un monde devenant, de plus en plus, instable et menaçant pour notre civilisation.

La seule question qui reste à poser est de savoir l’objectif de l’idéologie qui l’anime…

Un propagandiste antisémite, agirait il si différemment ?